Une nouvelle molécule, le VERUBECESTAT développée par le laboratoire américain Merck réduit la présence des protéines toxiques beta-amyloïdes dans le cerveau, dont on sait qu’elles sont responsables de la mort des neurones qui signe la démence. Elle agit en bloquant l’action d’une enzyme appelée BACE1. Son action semble être très puissante puisqu’elle a réduit la formation de protéines beta-amyloïdes de 90% chez l’animal et d’au moins 60% chez l’homme.
De plus, sa tolérance est bonne.
Un nouvel espoir thérapeutique dont nous attendons beaucoup et qui pourrait être commercialisé d’ici 3 ans
docteur Hervé ZACHARIE